1. L’homme et la femme sont de Dieu
Voici une expression que vous avez probablement déjà entendu :
« Dans quel monde vivons-nous ! »
Un monde où Dieu est poussé dehors.
1/3 des Français se déclareraient sans religion particulière : je n’ai pas de Dieu.
1/3 seraient athées : il n’y a pas de Dieu.
Pourtant, selon le Dieu de la Bible, nous sommes de Lui...
- Dieu, le créateur qui nous dépasse
- Dieu, le créateur de l’humanité à son image
- Dieu le créateur qui nous structure encore aujourd’hui
- Applications
L’homme original et la femme originales sont crées à l’image de Dieu. Les hommes doivent garder en tête que la Femme, qui est semble parfois faible, est tout autant qu’eux porteuse de l’image de Dieu.
Ils doivent s’interdire tout abus de position dominante sur une femme, un enfant, et en général toute personne en situation de faiblesse.
2. L’homme, heureux chef de famille
« Dans quel monde vivons-nous ! »
– Un monde où le nombre de mariage a diminué de moitié en France en 40 ans
– Un monde ou il n’a jamais été aussi facile de rompre un engagement, ou ne pas s’engager.
– Un monde où l’on peut choisir d’être un homme ou une femme indépendamment de son sexe biologique.
Difficile de se repérer !
- La création de l’homme
- La création de la femme
- Le premier mariage
- Le dernier mariage
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L’homme a un leadership, et donc une responsabilité devant Dieu.
=> Que chaque homme prenne soin de son épouse. Personne ne peut le faire à sa place.
=> Que les hommes veillent au bien commun des femmes, des enfants, et de la communauté humaine en général.
3. L’homme en dramatique échec
« Dans quel monde vivons-nous ! Il n’y a plus d’autorité respectée. Chacun revendique. Le monde est dangereux et l’avenir est sombre. »
La bible révèle l’origine de se mal : une désobéissance malheureuse de nos premiers parents qui a des répercutions jusqu’à aujourd’hui...
- La première Alliance
- La désobéissance de l’homme et de la femme
- L’inévitable face à face avec Dieu
- Le départ du jardin
- Regard vers la dernière alliance
- Applications
Dans sa quête de l’égalité absolue entre les hommes et les femmes, notre culture amène un conflit insoluble entre les hommes et les femmes. Il y a trois victimes :
– Les enfants, qui n’ont plus un modèle d’autorité structurée. Ils se trouvent souvent livrés à eux-même, seuls face à leur tendance à « faire la loi ».
– Les femmes, qui en luttant pour leur égalité perdent la protection et l’esprit de sacrifice bienveillant qui animaient les hommes à leur égard.
– les hommes, contraints à « s’émasculer » pour plaire à leurs femmes.
Notre culture nous apprend que le leadership se gagne à coups d’épaules, que c’est un Graal dont on doit s’emparer, alors que le leadership se reçoit de Dieu, et qu’il est au service de Dieu et de son prochain. Il y a donc un leadership que l’homme n’a pas choisi, mais qu’il doit assumer, et bien souvent cela sera avec souffrance et sueur.
4. L’homme est potentiellement dangereux, mais il y a une espérance
Voici des paroles que vous avez probablement déjà entendu :
« Dans quel monde vivons-nous ! Viols, agissement sexiste, violence conjugales, féminicides, abus d’autorités, et maintenant « soumission chimique »...
La masculinité telle que soutenue par le patriarcat biblique est-elle toxique ?
- La première famille
- La première civilisation
- L’espérance d’une autre postérité
- Aujourd’hui
- Applications
Genèse 4.6 : L’Eternel dit à Caïn : « Pourquoi es-tu irrité et pourquoi arbores-tu un air sombre ? Certainement, si tu agis bien, tu te relèveras. Si en revanche tu agis mal, le péché est couché à la porte et ses désirs se portent vers toi, mais c’est à toi de dominer sur lui.
Genèse 4.16 : Caïn s’éloigna de l’Eternel.
Aujourd’hui Dieu demande
– de nous détourner de notre vie de Caïn,
– de nous tourner vers son Fils, le Messie promis, Jésus.
– de recevoir par une foi personnelle en Jésus le pardon et la réconciliation avec Dieu.Tel Abel, les Hommes doivent être comme des bergers pour leur famille : non violent, nourricier, protecteur, bienveillant.
Avertissement :
Cette prédication pourrait laisser suggérer que la lignée de Seth à Jésus-Christ est constituée d’hommes justes. Cela n’est pas le cas au regard de textes comme Josué 24.2, 14-15. L’homme a un penchant pour l’idolâtrie, mais Dieu se révèle à lui.